Que l'on se considère comme une personne spirituelle ou non, que l'on pense que la spiritualité a joué un rôle positif ou négatif dans l'histoire, il est indéniable que l'homme s'est livré à ces activités depuis la nuit des temps : étude, méditation, jeûne, prière, recueillement, dévotion, purification, discipline, marquant ainsi l'évolution de l'humanité.
Dans la recherche de la connaissance et de la sagesse, on peut se poser la question suivante : Comment savoir ce qui est réel ?

Si nous considérons les qualités du Yin Yoga, il est aisé de reconnaître une pratique du lâcher prise à laquelle s’ajoute celle de l'introspection. Ces derniers deux éléments constituent l'alpha et l'oméga de la pratique du, permettant au pratiquant de se soustraire lentement de son système nerveux, puis d'élargir sa conscience à un éventail plus large de perceptions internes.

Si nous explorons les différents aspects de la méditation que nous trouvons dans les deux traditions, yogique et bouddhiste. Nous pouvons en conclure qu’il y a toujours eu une dynamique et une polarité interdépendante dans la méditation. La plus connue étant Dharana & Dhyana également trouvée dans les 8 membres de Patanjali.

Y a-t-il quelque chose de plus évident que le changement constant de tous les phénomènes de la vie ?

Pas besoin de chercher très loin pour saisir le concept d'impermanence, comme le cycle constant des saisons ou même le vieillissement naturelle de notre propre corps…

Il est évident que rien ne dure… Ni les journées ensoleillées ni le confort de la jeunesse, comme la progression du soleil qui monte, brille et diminue dans le ciel, dès notre naissance la finitude de notre vie physique est implanter et la graine de l'impermanence germe ad libitum.